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Connaissez vous ce Bernard?

Ne pas confondre les MARMIé Bernard!

Ne pas confondre les MARMIé Bernard! Ne les confondez pas.. avec les personnes disparues de la région du même Nom/Prénom.
 Moi c'est bien: MARMIé (avec l'accent sur le "é") Jean Bernard Léon né en 1942 à La-Jasse de Tesquet * Cuzorn 47500. 

Je suis bien né là! (vue photo google maps +en bas) Sans sage-femme, avec le Docteur "Leygues" de FUMEL qui  fût également Médecin de l'Usine SMMP présent régulièrement à l'infirmerie. 

Oui c'est bien le Docteur "Leygues" qui m'a mis au monde en 1942! 

Ce jour du 16 novembre 1942 le Docteur Leygues de Fumel: son cabinet Place du Postel venait déjà "me faire connaitre" l'Usine SMMP! 


A La-Jasse de Tesquet: " au bout du village" une seule maison de famille, très retirée du village, mes grand-parents paternel à l'époque petits cultivateurs au milieu des 5 ha de terres et de bois entourant cette petite propriété de famille. Là j'y ai vécu dans les bois très longtemps, les jeudis (sans patronage), dimanches et vacances où mes grand-parents maternel s'étaient retirés pour leur retraite en venant d'ailleurs. 

Je n'oublie pas! A l'âge de 16 ans j'avais le permis de chasse et je parcourais avec mon père un grand chasseur tous les bois et les ravins, la grande plaine de La Même (entre voie la ferrée Périgueux et la Lémance) et bords de ruisseaux, l'Estancou et la Lémance les champs de maïs,  à la recherche de perdreaux, lapins, lièvres, faisans, bécasses, bécassines, les alouettes, les cabanes "l'espère" à palombes, puis la palombière est arrivée.


                 


Quelle était belle cette époque!

  • Les champignons.
  • La pêche aussi dans les ruisseaux, Estancou et la Lémance avec mon grand-père, les écrevisses, les goujons, les vairons, les chevesnes (cabots).
  • La baignade dans l'Estancou et la Lémance.
  • La baignade: on pouvait à vélos via le bas de Monsempron, ou à pieds  en longeant la voie ferrée PERIGUEUX se rendre à la piscine de l'usine SMMP le Parc Henri Cavallier
  • Tout était parfait!

A l'âge de leur retraite mes parents ont fait construire une maison tout à côté de la maison natale, mais la maladie n'épargne personne dans la vie! Progressivement ce fût alors la fin du bonheur dans ce havre de paix, de liberté et tranquillité tout proche de FUMEL, où toute la famille, les "quelques amis" aimaient s'y retrouver.

Entre les années 80/2000 nous avons tout vendu ma sœur et moi: tout l'espace de la propriété a été morcelé et la tranquillité  est devenue bien moindre. La route aujourd'hui bien enrobée de bitume (à l'époque elle était un chemin "privé" aménagé avec l'apport de crassier de fonderie de la SMMP par mon Papa) y passant (cul de sac) se poursuit aujourd'hui ensuite dans les bois, pour ressortir sur la gauche vers Monsempron ( par l'Estancou) et tout droit elle débouche sur la route D162 de MONFLANQUIN-Salles-Gavaudun

Même de par le ciel Google Maps vous surveille: 

*LIEU-DIT LA JASSE, 47500 Monsempron-libos:

 


VOIR mes ancêtres  (malgré la Covid 19: même à + de 78 ans on peut être toujours en vie sans le "vaccin" )

Origine du nom MARMIé

GENEANET - Marmier : Est surtout porté dans le Lot-et-Garonne (variante : Marmié) et dans la Haute-Saône, désigne peut-être l'ouvrier qui extrait ou travaille le marbre (latin marmor). Mais il s'agit plutôt d'un ancien nom de localité : on trouve des hameaux nommés Marmié à Salles (47), et Pomarède (46) qui pourraient être à l'origine du nom de famille, du moins dans le Sud-Ouest. Sens du toponyme : carrière de marbre.

MES ANCÊTRES - MARMIé Jean Bernard Léon

MES ANCÊTRES - MARMIé Jean Bernard Léon

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«Un passé fumélois» est aussi mon passé de Fumélois

Mon passé de Fumélois: tout jeune enfant j'habitais  à Fumel dans une des cités d'usine, mon Père travaillait alors à la SMMP FUMEL, 

Titulaire du CAP d'ajusteur: venait alors ensuite a moins de 18 ans d'entamer une vie professionnelle. Ce fût alors "obligatoire", dans les gènes de la cité  de commencer ma vie dans cette Usine de Fumel le noyau de cette cité Fuméloise.

Je connais alors  le service Atelier et pour être plus précis l'atelier (les) AMC Fumel*, le montage des tours parallèles de la même marque: la nouvelle génération de tours parallèle, 

(après celui d'origine en bâti-tôles le n° 1 des AMC* des frères Louis et Henri Chartoire de Clermont-Ferrand) 

* La SMMP usine de FUMEL avait ouvert une école, un centre d'apprentissage qui avait voulu donner aux jeunes ("les arpettes") une formation performante : des modeleurs, mouleurs, électriciens, fraiseurs, tourneurs et ajusteurs: ceux qui en ont bénéficié en gardent un excellent souvenir.

*AMC: AMC, les Ateliers Mécaniques du Centre spécialisés au départ dans les machines-outils, sont créés avant-guerre par Louis et Henri Chartoire. Ils lancent leurs premiers moteurs de motos 125 cm3 quatre temps culbutés en 1942 et leur plus grosse cylindrée, la 250 qui nous occupe aujourd‘hui, est présentée au salon de Paris en 1952 . De 1942 à leur fin d’activité en 1959, AMC motorisera près de 10 000 motos, vélomoteurs et scooters.

Titulaire d'un CAP ne signifiait pas être un P1! (professionnel niveau 1)

Qualification P1 ou niveau 1, un essai pratique "une simple" queue d'aronde: pour la Q-P2 un essai pratique soit l'ajustage à la lime d'un ensemble en "doublequeue d'aronde en acier, réalisé en 8 heures. (lire document PDF joint)

Calcul côte sur piges queue d'aronde

Mon premier salaire à été gagné ici! Métier très physique mais de très bon souvenirs.

Vient ensuite l'âge du service militaire "obligatoire" pour 18 mois: 

"on laisse alors son travail, sa jeunesse" une absurdité politique de l'époque.

1962 l'année d'incorporation l'<AFN en fond d'écran: j'y passerais 14 mois.

Je reviendrais ensuite aux AMC jusqu'en 1966 

J'ai quitté l'usine en 1966 et je n'ai pas connu la fabrication, le montage des fraiseuses AMC. 

J'ai quitté FUMEL (Cézerac) en 1966: je revenais très régulièrement chez mes parents habitant sur la commune de Cuzorn.

FUMEL usine de Fumel la SMMP   
appellation d'usage: Société Minière Métallurgique du Périgord, puis Pont-à-Mousson ; Société Aquitaine de Fonderie Automobile

FUMEL, CITÉ MÉTALLURGIQUE

FUMEL est la seule ville du département à posséder une entreprise industrielle véritablement grande. Celle-ci, la Société minière et métallurgique du Périgord (S. M. M. P.), emploie deux mille huit cents ouvriers.
La création de l'usine remonte à des temps lointains. Elle était liée à l'extraction de minerai de fer dans les environs de Fumel. Aujourd'hui la quasi-totalité des minerais traités par la S.M.M.P. est importée. Cependant quinze ouvriers sont encore employés dans les mines de fer qui continuent ainsi d'être en activité.
Filiale du groupe Pont-à-Mousson, dont elle fait partie depuis 1933, la Société minière se classe parmi les premières fonderies françaises.
Les bâtiments s'étendent sur une surface de 25 hectares entre le Lot et la voie ferrée Monsempron-Libos-Cahors.
L'usine constitue un ensemble industriel complet, transformant un produit brut, le minerai de fer, en produits finis.
Elle comprend, notamment, une installation d'agglomération du minerai, deux centrales d'énergie (l'une alimentée par un barrage sur le Lot, l'autre, thermique) ; deux hauts fourneaux produisant 400 tonnes de fonte par jour, plusieurs fonderies et trois ateliers (usinage, traitement thermique, chromage industriel).
Parmi les produits finis qui sont la spécialité de la S.M.M.P., il faut citer les canalisations en fonte (pour des adductions d'eau et de gaz) et des pièces moulées. Ces pièces moulées sont surtout destinées à l'automobile (carters, cylindres, blocs de freins, etc.). Les cylindres de la 2 CV et de la 3 CV, par exemple, sont fabriqués à Fumel.
Mais la S.M.M.P. peut aussi bien fabriquer des pièces de 100 grammes à 90 kilogrammes et des pièces de 50 tonnes. Les unes étant des accessoires de canalisations ou des pièces pour l'industrie du froid et de l'électronique, les autres des gros corps de robinet, des cylindres de papeterie, des engrenages, des chemises de moteurs d'avion, etc.
L'usine de Fumel joue enfin un rôle important dans l'amélioration des conditions de vie de la région. Elle assure de façon permanente la formation professionnelle et l'éducation de cinquante jeunes. Une piscine, des terrains de rugby et de basket, des courts de tennis, une salle de gymnastique sont à la disposition du personnel.

MétalAquitaine à Fumel (47) : la CGT à l’offensive, plus de 30 ans de luttes.

J'ai connu l'usine SMMP de FUMEL mon premier employeur en 1960: les grèves (80 ans présente et connue en France), à répétition menées par la CGT avec la CFDT et autres, sont "certainement" les auteurs,  "par leur agressivité constante" responsables de la fermeture totale de l'outil principal du bassin Industriel Fumélois pour l'emploi. Une grosse perte pour la ville de FUMEL

L'usine de FUMEL est bien morte

Matin midi et soir je "partageais" cette allée, du portail d'entrée, du parc à vélos vers les ateliers à droite sur l'image, la pointeuse, le vestiaire puis je me dirigeait vers le montage AMC😍 J'y ai appris le beau métier d'ajusteur/monteur de tour AMC😁😁

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Des salariés  menacent de faire sauter leur usine

Le patronat dos au mur
La CGPF, la Confédération générale du patronat français, est impuissante face à l'ampleur des mouvements.


"LES VIEUX" de la CGT achèvent leur besogne

HISTOIRE PATRIMOINE DE FUMEL

Bernard à été une TPE


SMMP de FUMEL: Premier complexe sportif du département

Premier complexe sportif du département, inauguré le 22 mars 1942, le Parc des sports Henri Cavallier comprend terrain de sport avec tribune, piste d’athlétisme, piscine, courts de tennis, salle de basket-ball, fronton de pelote basque et foyer (salle des fêtes). Il est créé par la Société Minière et Métallurgique du Périgord (SMMP), pour les ouvriers de l’usine métallurgique de Fumel, à l’initiative du directeur Jean Cavallier, en mémoire de son oncle Henri.

Entre 1940 et 1942, la Société Minière et Métallurgique du Périgord (SMMP), alors propriété de la société de Pont-à-Mousson, construit un Parc des sports à Fumel. Etablie à proximité des cités ouvrières, l’infrastructure témoigne de l’idéologie paternaliste de la direction. Il s’agit d’offrir aux employés de l’usine et à leur famille un ensemble d'équipements sportifs et de loisirs.

Architecture contemporaine du Lot et Garonne

>> L’entrée du parc, signalée par deux colonnes, est réalisée avec des tuyaux sortis des hauts-fourneaux de l’usine. Le programme réunit des terrains extérieurs dont un stade entouré d’une piste d’athlétisme et une piscine de plein air avec un bassin de 33 mètres.
Le bâtiment attenant aux tribunes, avec ses volumes arrondis et ses hublots, est représentatif du style « paquebot », une variante de l’Art Déco. Il est toujours occupé, au rez-de-chaussée par le gardien qui dispose d’un logement, à l’étage la rotonde donnant sur le bassin sert de « club-house » au club de rugby local. Depuis ce bâtiment, on accède au bassin de la piscine, surélevé par rapport aux terrains de sports. Tombée en désuétude, la piscine n’accueille plus de baigneurs mais a été sauvegardée.


>> En 1991, la municipalité a racheté le Parc, certains équipements sont encore utilisés. En 2008, le Parc a reçu le label du Patrimoine du XXe du Ministère de la culture et de la communication. Ce label identifie et signale les constructions et ensembles urbains protégés, ou non, au titre des Monuments Historiques ou des espaces protégés. Il illustre la prise en compte progressive de l’architecture du XXe dans le champ du patrimoine oublie à proximité des cités ouvrières, l’infrastructure témoigne de l’idéologie paternaliste de la direction. Il s’agit d’offrir aux employés de l’usine et à leur famille un ensemble d'équipements sportifs et de loisirs.

>> Dans les années 1950, la fonderie de Fumel prend une dimension mondiale, en particulier dans le domaine de la fabrication des chemises pour les très gros moteurs marins et automobiles. Son savoir faire est alors unanimement reconnu. La fabrication des tuyaux prend aussi de plus en plus d’importance. 
>> Rive droite du LOT: A la même époque la direction de l’usine développe un vaste programme social en construisant des logements sociaux ce sont les maisons de la rue neuve, la rue Kuntz, la métairie basse, l’avenue Albert Thomas, la rue des écoles à Libos.

>> Rive gauche du LOT: Les Cités de Cézerac contruitent autour du château de Cézerac.
>> Cette impulsion permet à l’usine de Fumel de connaître son âge d’or au cours des années 1960-1970. A la fin des années 1960, plus de 100.000 tonnes de fonte brute sortent chaque année de ses trois hauts fourneaux, destinées en grande partie à la fabrication des tuyaux d’adduction d’eau mais aussi à la production de toutes sortes de pièces pour l’automobile, des contrats avec les grandes firmes automobiles entraînent la fabrication en grande série de chemises de voiture et de celles de bateaux, en complément de cette activité on développe un atelier chromage pour remédier à la trop grande corrosion des chemises en fonte, on y fabrique aussi des bâtis de machines-outils les célèbres tours AMC  qui équipaient quasiment tous les ateliers de tournage de lycées techniques ou de particuliers en sous-traitance de mécanique de précision de toute une région. (beaucoup sous-traite des ensembles mécaniques  pour les AMC Fumel)
>> Dans les années 1970 on y fabriquera également des fraiseuses conventionnelle, ou cyclées. 
>> En 1962, on crée un service informatique, c’est encore une technologie mystérieuse et peu crédible mais on pense que ça pourra servir.

FUMEL cités ouvrières de Cézérac commune de Montayral

Les souvenirs de Bernard - Deux cités ouvrière de l'usine SMMP implantée autour du CHATEAU DE CEZERAC le Manoir de Cézérac, "rive gauche du Lot" 
         Le château est établi sur les terres de Cézérac au tournant des XVe et XVIe siècles. Implanté à proximité de église paroissiale dédiée à sainte Madeleine, il est constitué d’une tour circulaire pourvue de mâchicoulis et d’une chartreuse. À ce corps logis sont accolées des dépendances terminées par un deuxième corps de logis, le style renaissant quercinois se remarque encore notamment sur la croisée et demi-croisée du pavillon au sud ornées de roses dites du Quercy et de motifs de chardon. À la fin du XVIe siècle, le château appartient à la famille de Cladech, proche de celle des de Vivans. Défait à Libos, le capitaine huguenot Geoffroy de Vivans passe la nuit dans le château en 1574. Au XVIIe siècle, il est propriété de la famille de la Borie, ils sont à l’initiative de l’agrandissement du corps de logis principal. Avant d’être vendu comme bien national en 1793, le domaine est détenu par le vicomte de Brons, il s’agit alors d’une maison noble comprenant, le château, une métairie, des écuries et un chai.

L'édifice est implanté sur le rebord d'une terrasse dominant le cours du Lot, autrefois voisin d'une église paroissiale aujourd'hui disparue. La tour circulaire couverte d'un toit conique occupe l'angle nord du corps de logis rectangulaire, d'un étage carré. Sa toiture mansardée est couverte de tuiles plates sur le brisis. Le second corps de logis adossé au précédent, en rez-de-chaussée et comble à surcroît couvert d'un toit à croupes, comporte trois travées. La croisée et demi-croisée du pavillon au sud sont ornées de roses dites du Quercy et de motifs de chardon.

Le château de Cézérac 47500 Montayral

- Le CHATEAU DE CEZERAC ou le Manoir de Cézerac fût le "logement de fonction" d'un chef de service de l'usine SMMP.
- Bernard vivait chez ses parents ici "l'angle de cette rue des tulipes" dans cette cité neuve de l'époque construite par la  SMMP 

- L'autre cité "voisine" de l'usine SMMP: où des copains je peux dire nombreux, les jeudis n'étaient pas triste, dans la "garenne" au bord de la rivière Lot toute proche de la cité et du château, ce manoir habité par 2 enfants de nos âges, du mien aussi, les "années boums" organisées dans le chai du manoir, les premiers slow

Le LOT rivière de la baignades "sauvage" (tout en ayant la piscine SMMP sur l'autre rive), de pêche sur la rive face à l'usine, presque sous le barrage, face aux hauts fourneaux et les fonderies ! La pollution! Elle n'existait pas, on ne s'en préoccupait pas encore!  (regardez mon âge , une chance très certainement?) 

On y vivait toujours aux rythmes de l'usine SMMP, (24/24 heures) le hurlement de la sirène nous guidait pour les horaires de retour vers nos maisons, où là, pas encore, très peu de télévisions, de réfrigérateurs: l'eau fraîche les étés déjà très chaud de 1950 (avant/après), il y en avait à la source (une chance) de la garenne où l'on attendait son tour, "avec patience" pour y faire le plein d'eau fraîche.    

La garenne de Libos, vers Fumel et St-Vite, la balade du Lot

La garenne - Suivre le chemin (un sentier rive gauche) ombragé qui domine la rivière de plusieurs mètres sur près de 1200 m. Dans les bois de feuillus, les chênes dominent, côtoyant des acacias, quelques érables, châtaigniers, frênes, charmes et sureaux… Au carrefour de trois chemins, quitter
le Lot. Monter à gauche sur un chemin sinueux (cabane en bois). Suivre successivement, les rues de la Garenne à droite, puis des

Tulipes à gauche. 

Place des Hortensias, monter à droite. Suivre le large trottoir bordant la D 431 à droite sur environ 330 m. Face à
l’avenue de Libos, descendre à droite rue des Pêcheurs. Quelques dizaines de mètres avant les feux tricolores, bifurquer à droite
dans le rue des Rosiers. Emprunter avec prudence la rue du Pont à droite sur quelques mètres.

Il n'y avait pas  de bus de ramassage scolaire "gratuit"  à l'époque!

Le chemin vers l'école primaire de Libos passait très souvent par cette garenne: un raccourci, un sentier dangereux aussi pour des enfants seuls. Ce sentier débouchait au pont de Libos par un escalier d'une dizaine de marchesla, le pont traversé, on empruntait ensuite la rue du Lot pour arriver à l'école "mixte" de Libos)

On marchait beaucoup à cette époque! Un peu plus tard on marchait aussi en direction de Fumel, vers le Cours Complémentaire ( sur le haut Fumel, "24", avenue Jean Jaures): plus souvent quand même le trajet se faisait à vélos en passant sur le pont suspendu de "Fumélou", "la côte" rue Léon Jouhaux, pour se trouver dans Fumel, puis la dernière côte avenue Jean-Jaures jusqu'au Cours-Complémentaires. 

Durant quelques mois les classes 6ème au dessus des pompiers et 5ème avec une vue sur terrasses ( la mémoire me lâche!) se sont retrouvées dans le Château de Fumel un lieu "magique"!

           + tard 

Oui! pas énormément de "voitures" (automobiles) à cette époque là 1950/60.

Fumel (47) - Rive droite, rive gauche du Lot

Saint-vite - le château du BOSCLA 

Saint-vite - le château du BOSCLA ( des souvenirs de fumélois)

Le château du Boscla sur la commune de Saint-Vite 47500, entouré d'un beau parc arboré, est implanté sur une terrasse dominant la plaine du Lot.
Henry Southard, issu d'une famille protestante de négociants bordelais, fait édifier au Boscla une vaste maison de campagne de style éclectique sur un projet de l'architecte agenais Verdier datant de 1871.

Bernard: tous jeunes (années 1950/60) nous avions une attirance vers ce château d'apparence toujours inoccupé: sans tenter entrer à l'intérieur du château; aujourd'hui "le squatte" est devenu habituel!

Alors - 1994 date à laquelle un incendie à détruit les toitures et une grande partie de l'intérieur de l'immeuble.

Le château du Boscla 47500 Saint-Vite, propriété privée, ne se visite pas: devenu une ruine, 

Entre 1945 et 1950: l'époque où les religieuses étaient encore présentes à Libos, pour enseigner à "l'école ménagère privée" situé dans le grand bâtiment en angle, proche du pont qui enjambe le LOT.

Passé cette grande porte d'entrée, 2 place du Lot, à gauche celle de la salle du catéchisme!

Ce que je raconte là c'est bien passé voilà + de 70 ans

Ces 2 religieuses: Sœur Marie-Julie et Marie Gilberte, aidées d'un aumônier le père Grannec nous enseignaient le catéchisme et organisaient le patronage le jeudi pour diverses activités (sorties, marches, jeux collectifs, etc.),vers les prairies environnant le château du Boscla, la destination pour ces sorties à la campagne.

On y allait bien sur en chantant: "Un, puis Deux kilomètres à pied ça use, ça use, Deux kilomètres à pied ça use les souliers. Trois kilomètres à pied ça use, ça use, Trois kilomètres à pied ça use les souliers"

Anecdote drôle: J'apprenais "mal le catéchisme", alors le père Grannec est aller apprendre la chose à mes parents et il avait réussi en bon diplomate a leur faire prendre l'abonnement à la revue du Pélerin pour oublier!  A chacune des parutions je pouvais y lire alors une nouvelle page de la bande dessinée d'Astérix et Obélix de Albert Uderzo à ses débuts; Mes parents m'adressaient même sous enveloppe chaque nouvelle page en Algérie durant les 14 mois de mon séjour "obligé" là-bas. Très longtemps mes parents ont conservés cet abonnement.

SAINT-VITE: Bernard se souvient! 

  • De Jean Roudil. «Curieux, passionné c’était aussi un inventeur de génie»,  c’est parce que Jean Roudil à déposé une dizaine de brevets: «invention qui ont modifié la pruniculture comme par exemple le brevet du séchage de la prune dans des fours à ventilation moderne».
  • Je connaissais tout jeune les "pruneaux d'Agen" et  la pruniculture à La-Jasse Tesquet: beaucoup de pruniers et de fours dans chacune des petites propriétés.
  • Comme nous, ma sœur et moi et les autres du quartier de Cézerac, la fille "Roudil" faisait elle aussi la route à vélo de Saint-Vite vers FUMEL le Cours Complémentaire "filles" place de l'église.  

   L'esprit Roucadil perdure depuis 1890

Fumélois : Roucadil, le spécialiste du pruneau d’Agen sous toutes ses formes !

Monsempron-Libos: une usine à Monsempron


Commune urbaine française, Monsempron-Libos dont l'altitude varie entre un minimum de 59 mètres et un maximum de 155 mètres pour une altitude moyenne de 107 mètres couvre une superficie de 905 hectares soit 9,05 km².
La briqueterie de Monsempron-Libos date des années 1910, et s’appelait à l’origine “Société des Produits Réfractaires de Fumel et Libos”. Plus de 300 salariés y travaillaient dans les années 70-80.

Contrairement a la SMMP FUMEL: Monsempron-Libos. La briqueterie de Monsempron : 
                          Tellus Ceram en plein boom, est toujours "debout".

Durant ma jeunesse "libosienne"- "fumeloise": L'économie de toute l'agglomération était basée autour de la métallurgie et de son usine SMMP - PAM (traitement du minerai de fer et briques réfractaires pour les hauts-fourneaux).
Le reste de l'économie étant réparti dans les communes de l'agglomération (Monsempron-Libos, Montayral, Saint-Vite, Condezaygues)."étaient moins considérées, car moins qualifiée à mes yeux en main-d'oeuvre"

Le pont sur le LOT - LIBOS - MONSEMPRON-LIBOS

Le pont actuel sur le Lot date de 1933. Il a remplacé un pont suspendu construit vers 1835.

J'ai bien connu LIBOS!  J'allais à l'école de LIBOS.

En 1958 le nom de la commune de Monsempron est officiellement modifié pour devenir Monsempron-Libos

L'  a  "toujours" été Fumel/libos!

La gare de Monsempron-Libos

Que des mauvais souvenirs en direction CAHORS!


La gare de Monsempron-Libos: je l'ai très bien connu cette gare de Monsempron-Libos.
Toutes fin de semaines je prenais alors l'autorail, Libos/Cahors, aller/retour, je connaissais parfaitement tous les arrêts tout au long de la voie ferrée qui longe le LOT...interminables!
J'ai passé +2 années comme interne au Lycée "section technique" de Gambetta, avant de rejoindre le Lycée technique d'Agen.

 (à Cahors sur la photo! Je n'y suis pas ou plus...)


Je ne vais pas m'étendre sur le "sujet" Lycée Gambetta de CAHORS.

  1. La gare de Monsempron-Libos: je l'a connais en direction AGEN (Lycée Technique)
  2. La gare de Monsempron-Libos: en direction PERIGUEUX/PARIS/NANCY etc..

"les arpettes" une ruche de sportifs qui ont formés les meilleures équipes à Fumel

Suite page 2


Bernard Vue de  face 

Un bon vieux! 79 ans cette année 2021


Mes occupations de "vieux" retraité:
AUJOURD'HUI ! Ce ou ceux qui m'ennuient  le plus

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